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MENTALITA NISSARDA

18 janvier 2012

Le Pays de Nice libre de droit !

JdP_et_ARLAlain Roullier-Laurens (fondateur et président de la Ligue pour la Restauration des Libertés Niçoises (L.R.L.N), ainsi que du Parti Niçois-Partit Nissart) et son homologue savoisien Jean de Pingon, ont fait une incursion en trombe sur le devant de la scène internationale, le mercredi 24 mars 2010, jour anniversaire de la signature du traité d’annexion de Nice et de la Savoie en 1860.

Ils ont présenté à Genève et adressé aux Ambassadeurs des Puissances signataires du traité de Paix de 1947 accrédités en Suisse, deux documents permettant aux défenseurs de l'idée d'indépendance de la Savoie et du Pays Niçois de reprendre des couleurs. Les projets de fusion de la Savoie et de la Haute-Savoie ainsi que celui de dissoudre définitivement le Pays de Nice dans la Provence devraient prendre de moins en moins de relief. Les signataires de la "Déclaration de Genève" assurent que ce débat n'a plus lieu d'être car la Savoie et Nice ne sont plus françaises depuis... le 10 juin 1940, date de l’entrée en guerre de la France avec l’Italie.
ONU_001___Copie « Après la deuxième Guerre mondiale, le traité de Paix signé avec l'Italie le 10 février 1947 prévoyait que tous les traités conclus avant le conflit entre les alliés et l'Italie, suspendus à la date de la déclaration de guerre, devaient signifiés à l’Italie et être enregistrés au Secrétariat des Nations Unis afin d'être maintenus et remis en vigueur. La France avait six mois à compter de la promulgation du traité pour effectuer ces démarches, fautes de quoi ces traités seraient abrogé ipso facto ; mais cela n'a pas été le cas », explique Jean de Pingon, qui a présenté une attestation signée de la responsable en chef de la section des traités de l'O.N.U. Ce courrier confirme un précédent courrier, jamais diffusé, daté de 2002, émanent du conservateur en chef du patrimoine du ministère français des Affaires étrangères.

Les signataires de la Déclaration de Genève ont donc informé à la même date, le Secrétaire général de L’O.N.U. afin lui faire connaître statut juridique de Nice et de la Savoie, pays colonisés qui sont concernés au premier chef par les articles I et 102 de la Charte des Nations Unies ainsi que par la résolution 55/146 adoptée le 08 /12 /2000 par l’Assemblée générale de l’O.N.U. qui dispose que l’année 2010 sera l’année ultime de la deuxième Décennie internationale de l’élimination du colonialisme. Nice et la Savoie se trouvant au nombre des derniers pays colonisées devant faire l’objet d’un processus de décolonisation semblable à celui de la Nouvelle Calédonie.

Ces interventions de poids de M.M Alain Roullier-Laurens et Jean de Pingon auprès des instances internationales provoquent déjà, quelques jours après, des effets concrets :

justiceUne loi très récente permettant à un justiciable de contester lors d’un procès, (quel que soit le tribunal concerné, sauf la Cour d’assises), une loi pénale contraire à l’un de ses droits fondamentaux, l’argument de l’abrogation du  traité de Turin a déjà été invoquée.

Un Niçois vivant pour affaires en Savoie s'est fait " flasher " par un radar à sa sortie de l'aéroport de Nice il y a peu de temps.  Il a contesté la validité du P.V. du fait que le fonctionnaire français qui avait signé l’arrêté fixant la limite de vitesse, n’avait aucune autorité pour le faire en vertu de l’abrogation du traité de Turin découlant de la violation par la France de l’article 44 du traité de Paix de 1947; signifiant en outre que l'article 55 de la constitution française dispose que  « les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par l'autre parti ». Le tribunal d’Alberville devant lequel il comparaissait s'est donc immédiatement déclaré incompétent, d’autant que l’abrogation en question le rendait illégitime en Savoie !

Ce précédent suggère une nouvelle appréciation en ce qui concerne les droits des Niçois et des Savoisiens en vertu de l'article 55 de la constitution française qui dispose de façon explicite que « les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois.» Depuis 1947 le droit français n'est plus applicable en Pays Niçois et en Savoie ( pas plus qu’en Corse étant donné que le traité de Versailles par lequel la République de Gênes cédait ce territoire à la France n'est pas non plus enregistré par cette dernière) !

Yves_NicolinCette nouvelle situation juridique a d'ailleurs alerté un parlementaire, qui a interpellé un ministre. La question écrite suivante, insérée au Journal Officiel, à été posée au ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, à ce sujet par un député UMP de la Loire M. Yves Nicolin :

« M. Yves Nicolin attire l'attention de M. le secrétaire d'État à l'intérieur et aux collectivités territoriales sur les risques juridiques, politiques et institutionnels majeurs qu'entraîne le traité d'annexion de la Savoie. À l'occasion du 150e anniversaire de l'annexion de la Savoie par la France, des cérémonies et diverses festivités et visites officielles sont programmées durant toute l'année 2010 notamment à partir du 24 mars puisque c'est par un traité signé à Turin le 24 mars 1860 que les arrondissements de Nice et la Savoie (les deux départements 73 et 74 actuels) ont été rattachés à la France du second empire. Sa question se pose pour deux raisons juridiques précises : d'abord et avant tout à l'échelle nationale parce que se pose sans doute une question d'intégrité territoriale susceptible en conséquence d'entraîner des effets internes importants. En effet, la question brutale de savoir si ce traité du 24 mars 1860 est bien toujours en vigueur se pose or ce traité est la clef de voûte de tout l'édifice juridique et administratif français en Savoie. Le problème est simple : la France a enregistré à l'O.N.U sous le n° I-747 le traité de paix du 10 février 1947 dont elle est signataire et dépositaire. Ce traité comportait un article 44 faisant obligation à la France de notifier à l'Italie les traités antérieurs suspendus par l'effet des hostilités de la Seconde Guerre mondiale (traités au rang capital desquels se trouvait naturellement le traité de rattachement territorial de la Savoie et Nice de 1860). Cet article 44 comportait un 2e alinéa emportant l'obligation formelle d'enregistrer cette notification et ce traité auprès du secrétariat général de l'O.N.U, organisation créée deux ans auparavant en 1945. Cet enregistrement n'a pas eu lieu. Le même article 44 prévoyait un alinéa 3 stipulant qu'à défaut, la sanction encourue est l'abrogation (dans le texte : « les traités qui n'auront pas fait l'objet d'une telle notification seront tenus pour abrogés »). Il lui demande si le traité d'annexion de la Savoie du 24 mars 1860 a été ou non enregistré auprès du secrétariat général de l'O.N.U et, si cela n'est pas le cas, quelles mesures sont prises par le Gouvernement pour traiter les problèmes subséquents au plan juridique interne ?

La question se pose également à l'échelon international où elle rebondit sous l'angle de l'obligation de respect par la France des normes de droit international en vigueur et qu'il s'agit, en fait comme en droit, rien moins que de l'image et de la réputation de l'État français dans la communauté internationale. Il n'ignore pas que la charte de l'ONU de 1945, et notamment son article 1er, ainsi que de multiples résolutions adoptées par l'assemblée générale, ont enjoint les États à faire aboutir le processus général de décolonisation qu'avait initié dès 1941 la charte de l'Atlantique. Il se trouve que 2010 marque officiellement la dernière année de la deuxième décennie de la décolonisation onusienne. En 2010 pourtant, la plupart des ministères et des administrations projettent cependant de participer à des événements commémoratifs ou d'organiser des cérémonies officielles en Savoie ou à Nice. Cela apparaît paradoxal si ce traité d'annexion a été caché à l'O.N.U et qu'il est abrogé par l'effet d'un traité signé à Paris. Si le traité de 1860 est abrogé du fait de son non-enregistrement auprès de l'O.N.U, un processus de désengagement de la France aboutissant à un référendum local vis-à-vis de la Savoie et de Nice est inéluctable sauf à prendre le risque d'une condamnation de la France par la Cour internationale de justice de La Haye. Il ne s'agirait pas de voir la France internationalement sommée de fournir des explications qu'elle n'aurait pas ou aurait insuffisamment préparées, voire d'essuyer une grave condamnation puisque la zone territoriale concernée couvre deux départements et demi.

Au lieu d'apparaître comme subissant une crise dans une affaire juridiquement délicate voire perdue d'avance et doublement aggravée par la découverte de la dissimulation grossière d'un territoire ayant fait l'objet d'une annexion et par des commémorations officielles défiant (au sens étymologique des termes) le droit international, ne pourrait-on imaginer une prise en compte immédiate et en amont de cette question mettant à l'abri la France de l'avalanche de questions juridiques et politiques internes et internationales délicates que ce défaut d'enregistrement risque d'engendrer et que l'annonce de festivités officielles durant toute l'année 2010 risquent de déclencher et d'aggraver encore ? Il souhaite donc connaître les mesures que le Gouvernement entend prendre pour faire face et anticiper à l'O.N.U le risque certain de reconnaissance internationale de la Savoie par un ou plusieurs États étrangers ravis de brandir le traité de Paris de 1947 et reconnaître un nouveau micro-état géopolitiquement stratégique et juridiquement détaché de la France sans aucune préparation ni concertation ». (fin de citation)

Aigle_d_chain_C'est désormais un fait :
En droit le Pays de Nice et la Savoie sont libres de choisir leur destin !

Quels que soient les développements de cette affaire, la Déclaration de Genève, a ouvert le débat sur le statut institutionnel de Nice et de la Savoie que beaucoup attendaient depuis longtemps ; la France a voulu commémorer en grandes pompes le 150e anniversaire d’une annexion, alors que les souverainistes Niçois et Savoisiens vont fêter l’abrogation du traité qui consacra cette annexion...  

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18 janvier 2012

La LRLN : le mouvement séparatiste Nissart souvent copié ou jalousé mais jamais égalé !

 

LEn cette année 2011, nous fêtons les 10 ans de la Ligue pour la Restauration des Libertés Niçoises, (L.R.L.N.). Durant cette décennie, le mouvement garibaldien n'a pas chômé. La L.R.L.N. a remis les pendules à l'heure avec la France concernant notre histoire falsifiée sans discontinuer depuis maintenant 151 ans.

 


Ce fut d'abord l'ouvrage référence NICE DEMAIN L'INDEPENDANCE, étude particulièrement brillante et extrêmement documentée, dans lequel l’auteur Alain Roullier-Laurens a apporté la preuve absolue que le traité de Turin est caduc pour de multiples raisons de droit et de fait :
 24 Mars 1860, traité invalide et par la suite non respecté. 1er Avril 1860, occupation militaire française suivie d’un plébiscite truqué quinze jours plus tard. 8 février 1871, confiscation du vote séparatiste massif des Niçois et dictature à Nice. Juin 1940 : suspension du traité de Turin. Février 1947, traité de Paix international fixant les modalités de remise en cours des traités internationaux :: non respect par la France des clauses impératives fixant les modalités de remise en vigueur du traité de Turin…

L'e1871_CANONSxhumation de NICE CONTEMPORAINE (ouvrage brulôt, tenu sous clef à la Bibliothèque de Nice qui n’était accessible qu’à des personnes choisies et dont personne ne pouvait prendre copie) de Henri Sappia qui fonda plus tard la revue Nice-Historique et de l’Acadèmia nissarda, et qui était alors en exil volontaire à Londres, après le soulèvement séparatiste de Nice qui suivit les élections du 8 février 1871 et sa répression à la baillonnette. L’ouvrage imprimé à Londre fut saisi à la frontière française et pilonné ; seuls trois exemplaires existent au monde. Grâce à l’exemplaire conservé dans une célèbre bibliothèque en Italie, le président de la L.R.L.N. participa à sa traduction de l’italien et le fit publier ; le 29 septembre 2006, date du centième anniversaire de la mort d’Henri Sappia en 1906, une délégation de la L.R.L.N. déposa sur la tombe du grand Niçois, le premier exemplaire réimprimé de son livre interdit et détruit par la France. Le lendemain, il était en librairie à la disposition des Niçois qui un siècle plus tard pouvaient enfin prendre connaissance du texte capital qu’Henri Sappia leur avait adressé. Prophétiquement Henri Sappia avait placé en exergue au début de l’ouvrage cette formule latine de Virgile : « Forsan et haec olim meminisse juvabit. »... Et peut-être, un jour, le souvenir de ces évènements sera utile... Un siècle plus tard les Niçois prennaient connaissance de ce texte, et aujourd’hui, cinq ans plus tard, ce jour est venu. : le souvenir de ces évènements, va justifier que les Niçoises et les Niçois prennent le pouvoir chez eux. par les urnes comme ils l’auraient fait en 1871 si la puissance occupante n’avait pas répondu à leur vote par des canons et des baillonnettes... Aujourdhui, après la Déclaration de Genève (voir plus bas), on ne pourra plus employer la force pour faire taire les légitimes aspirations des Niçois à se gouverner eux-même.
 
r_volutionnaires_fran_aisNICE 1792-1814 du niçois Joseph André, lui aussi exhumé, traduit de l’italien et publié à Nice ; cet ouvrage s’appuyant sur une multitude de documents officiels originaux et des témoignages d’époque, nous a restitué une part importante de l’histoire de Nice occupée edt martyrisée par la France révolutionnaire puis impériale, époque très peu connue et volontairement occultée.

Jous__GaribaldiGARIBALDI & NICE superbe ouvrage historique et iconographique, honoré de la prestigieuse préface de Giuseppe Garibaldi, descendant direct du héros des Deux-Mondes, Conservateur du Musée Garibaldi de Caprera, Président de l’Institut international pour l’étude de Garibaldi, qui a son siège à Rome, ce qui confère à cet ouvrage, à la fois la caution garibaldienne officielle et la qualité méritée de livre de référence. Caution confirmée par Giuseppe Garibaldi qui répondit à une correspondante niçoise lui demandant où elle pouvait trouver des renseignements sur son ancêtre : « Il n’y a que deux personnes qui peuvent vous parler de Garibaldi ; en France c’est Alain Roullier-Laurens, en Italie, c’est le Dr Achille Ragazzoni. ». La réponse du descendant direct du héros des Deux-Mondes, se passe commentaires.

 


Sans_titre___CopieLA VERITE SUR L'ANNEXION DE NICE : paru l’année où la France fêtait à Nice le 150e anniversaire de l’annexion ; cet ouvrage ne décline pas seulement les véritables raisons de l’annexion et le mécanisme des fraudes ; il met en lumière l’action du Comité pour Nice de Garibaldi, et le projet politique d’Arson qui eut fait de Nice le centre de l’Europe. En dévoilant pour la premiere fois le nom des Niçois qui, en 1860, avaient le droit de voter, et par voie de conséquence leurs ayant droit actuels, il permet au passé de peser sur la réalité d’aujourd’hui. L’auteur explique également pourquoi la violation par la France des dispositions du traité de paix de 1947, relatives à la remise en cours des traités avec l’Italie ainsi que la Déclaration de Genève, en date du 24 mars 2010, remettent en cause la validité de l’annexion et des lois françaises à Nice et en Savoie. Un député inquiet des conséquences nationales et internationales de l’abrogation du traité de Turin a très récemment posé une question écrite au ministre de l’Intérieur, envisageant même un processus de décolonisation pour Nice et la Savoie.

Viennent complèter la collection MASSENA, LA TRAHISON, LES LAURIERS ET LES OMBRES d’Alain Roullier-Laurens, paru l’année dernière ainsi que un témoignage capital concernant l'annexion frauduleuse de Nice, un de plus, du niçois Pierre Louis Caire, lui aussi exhumé de l’oubli et republié cette année : Annexion de Nice en 1860, UN NOUVEAU TEMOIGNAGE ACCABLANT de Pierre Louis Caire . Souvenirs historiques documentés de 1860 .

Tous ces ouvrages sont disponible en librairie et plus particulièrement à la librairie presse République, avenue de la République et à la librairie la Source rue Bonaparte, ainsi qu’au siège de la L.R.L.N.

38006900_mEn 2007, la LRLN a organisé à Nice  " le comité populaire pour le bicentenaire " créé pour l'occasion avec l’arrière-petit-fils de Garibaldi conservateur de la maison-musée de Garibaldi à Caprera et le seul autorisé par l’Etat italien à y résider, Président de l'Institut historique International des Etudes « Giuseppe Garibaldi » et le représentant officiel de Garibaldi en Italie et dans le monde. L'action du comité officiel « Giaume /Mangiapan » organisée par la force occupante et cautionnée par les associations culturelles dites « niçoises » ne fut qu'anecdotique pour le Peuple Niçois.

Pendant cette décennie, la LRLN n'a pas seulement répondu aux questions que le Peuple Niçois se posait depuis un siècle et demi sur son histoire grossièrement réécrite. Elle a par l'intermédiaire de son président Alain Roullier Laurens, alors arrivé en 3eme position fait chuter aux cantonales de 2008 Eric Ciotti dans le très symbolique 1er canton historique du port. Eric Ciotti avait été désigné à l'époque par l'ancien président du conseil général des alpes maritimes (Christian Estrosi) comme étant son successeur ! Eric Ciotti arrivera néanmois à ses fins suite à la mascarade de St Martin Vésubie et un jeu de chaise musicale cynique jetant à la face des Niçois le mépris qu'a pour la démocratie les sbires de la France jacobine !

ONU_1947_2010Le 24 mars 2010, date anniversaire de la signature du Traité de Turin en 1860, pendant que la force occupante fêtait la signature du déjà illégal « traité de Turin » , la L.R.L.N, par la très officielle Déclaration de Genève interpellait de Genève, la communauté internationale au sujet de l'abrogation dudit traité en 1947 par l'Organisation des Nations Unies ! Ce même jour historique, naissait la branche politique de la L.R.L.N: le Parti Niçois / Partit Nissart !

Pendant toutes les festivités concernant les 150 ans de l'annexion en 2010, en plus des ouvrages cités plus haut, la L.R.L.N. a également exhumé des articles du journal anglais The Times témoignant de l'annexion scélérate de 1860 et de la répression à la baillonnette du soulèvement séparatiste de 1871 !

Le 14 juin 2010, date anniversaire de l'annexion administrative du Pays de Nice, une délégation de la L.R.L.N. était présente sur place, accompagnée de sympathisants. Au moment où retentissait la Marseillaise, certains d’entre eux ont spontanément entonné Nissa la Bella à pleine voix . Instantanément, les forces de l’ordre jacobines se sont emparées d’eux et les ont conduits à la caserne Auvare, ce qui prouve à la fois que chanter l’hymne niçois à Nice est aujourd’hui un délit, et que la france jacobine est encore bien décidée à détruire définitivement l’identité niçoise qu’elle n’a pu détruire jusque là...!

Parti_nicois_2_1En 2011, pour les 140 ans de l'insurrection de 1871 la branche politique de la L.R.L.N, le Parti Niçois - Partit Nissart , a présenté des candidats aux élections cantonales et malgré l'amnésie de la propagande annexioniste et le silence des médias complices du pouvoir, les résultats des candidats garibaldiens ont été encourageant pour la suite du combat.

Catarina_SeguranaPendant cette première décennie du réveil du Peuple Niçois, la L.R.L.N. n'a eu de cesse de condamner les imposteurs parasitaires de la mouvance d'extrême droite française du bloc identitaire qui se cachent sous les jupons de Catarina Segurana et le vocable niçois usurpé : « Nissa rebela », titre d’une chanson niçoise, outrageusement plagié..

 

Les Niçois libres continueront de combattre toute idéologie qui ira à l'encontre de nos valeurs ancestrales ! Que cela soit dit une bonne fois pour toutes !

Le combat continue... Les temps calamiteux qui viennent, et nous sont imposés par la déliquescence morale et économique de la France que certains n’hésitent plus à qualifier de république bannanière où circulent les valises de billets, permettront aux Niçoises et aux Niçois de reprendre le pouvoir chez eux.

 

Notre devise : désintoxiquez vous de la politique française ! Ni gauche, ni droite, seulement Nice et l’intérêt des Niçois !!!

 

« Du coté du peuple est la conscience du devoir, c'est cette résolution qui fait réussir les entreprises les plus difficiles ».
 Garibaldi.

 

LIBERA NISSA !

18 janvier 2012

MENTALITA NISSARDA : Être Niçois n'est pas un jeu !

Les Niçois existent bien. Nous le savions évidemment, mais certains pensaient le contraire, comme ceux qui prétendaient que les Niçois étaient “un peuple résiduel”. La L.R.L.N (Ligue pour la Restauration des Libertés Niçoises) à voulu, en créant la Carta d’Identita Nissarda, recenser tous les Niçois de souche ou d'adoption, demeurant à Nice ou dans l'arrière-pays, qui revendiquent fièrement leur nissardité, afin de resserrer entre Niçois les liens distendus pas notre société laquelle est le fruit d’une logique politique et économique qui nous a été imposée par Paris.

Le “modèle” de société que nous subissons tend à faire de nous des producteurs et des consommateurs aveugles, anonymes et muets, votant alternativement pour deux partis qui ont réalisé une OPA sur l’Etat grâce à notre argent, car ils sont officiellement subventionnés à hauteur de 73 millions d’euros par an, une bagatelle... Pour les promoteurs et bénéficiaires de ce système, l’identité niçoise doit disparaître et il n’en doit rester que la tourte de blette, car un homme, tant qu’il est conscient que son identité est particulière, ne peut être facilement lobotomisé et transformé en numéro sur une ligne d’ordinateur.

Etre titulaire d’une Carta d’Identita Nissarda, c’est d’abord s’affirmer en tant que Niçois avant tout, entrer en communion d’esprit et d’action avec les centaines de Niçois qui l’ont également, et reconstituer avec eux une force niçoise, basée sur des valeurs niçoises afin de pouvoir s’opposer plus efficacement à tous ceux qui détruisent Nice.

C’est aussi protester contre le saccage de notre ville et la panbagnatisation de l’identité niçoise, transformée en folklore à deux sous, qui sert de faire-valoir aux politiciens locaux et amuse les touristes parisiens en safari chez nous. La Carta d’Identita représente la condamnation de tout ce qui nuit à notre identité, l’union de ceux qui aiment Nice et surtout l’amorce d’un grand renouveau niçois, ce qui est un immense espoir.

Que vous soyez Niçois de souche ou d'adoption: Rejoignez nous !

Pour obtenir la Carta d’Indentita Nissarda téléphonez au 06 12 86 25 05 ou rendez-vous au siège de la L.R.L.N au 1 rue Caïs de Pierlas – 06300 Nice, les mercredi et vendredi après-midi de 15 h 40 à 20 h 30( ou sur rendez-vous).

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